Petit déjeuner de presse de l'AF3M le jeudi 20 avril, au Renoma Café Gallery
Fatigue, douleurs, insomnies, anxiété sont le lot quotidien des patients atteints de cancer. Ces symptômes ont des répercussions sur leur qualité de vie et ont un impact négatif sur leur physique et leur moral et tout particulièrement chez les malades du myélome multiple.
Deux études ont montré que les patients atteints d'un myélome multiple rapportent en moyenne davantage de symptômes et de plaintes fonctionnelles que ceux atteints d'autres hémopathies malignes ou d'autres types de cancers (1,2).
Activité physique, socio-esthétique, psycho-oncologie, prise en charge de la douleur, nutrition, … Aujourd'hui, conjointement aux traitements innovants, il est prouvé que les soins de support permettent d'apporter un mieux-être dans le quotidien des patients atteints d'un cancer.
Dans le cadre de la nouvelle directive du ministère des Affaires sociales et de la Santé relative à l’amélioration de l’accès aux soins de support des patients atteints du cancer, et à l’occasion de ses 10 ans, l’Association Française des Malades du Myélome Multiple (AF3M) organise une conférence de presse qui traitera les sujets suivants :
- Quelles sont le savancées thérapeutiques dans le traitement du myélome multiple ?
- Quels soins de support ont fait leur preuve dans la prise en charge du cancer ?
- Quelles actions met en place l'af3m pour aider les malades ?
Les intervenants de la conférence de presse :
- Pr Mohamad Mohty, hématologue, Hôpital St Antoine, Paris
- Dr Didier Kamioner, hémato-oncologue, Vice-Président de l'AFSOS, Trappes
- Bernard Delcour, Président de l'AF3M
Retrouvez le communiqué de presse, reprenant les points présentés ce jeudi.
(1) Fouquet G. Leleu X. La rémission dans le myélome multiple.
Correspondances en Onco-Hématologie 2014:9(4-5):170-73
(2) Molassiotis A, Wilson B, Blair S et al. Unmet supportive care needs, psychological well-being and quality of life in patients living with multiple myeloma and their partners.
Psychooncology. 2011 Jan;20(1):88-97